Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 février 2008 1 04 /02 /février /2008 01:33

Plutôt super pas de bol : les allez retours incessants entre le match en faux direct et les plateaux à Paris avec l'insupportable Laurent Luyat, plus les pubs... Imbuvable. Je ne vais sûrement pas me fader cette merde sans rythme jusqu'à la fin. Voilà quelques sportifs gribouillés et colorisés entre deux "mais ferme ta gueule!" adressés aux brillants speakers et des coupages de volume.  (Ils ont même zappé le concert de Tom Petty pendant la mi-temps "il semble qu'il soit connu aux états-unis"... Lamentable.) Tas de cons.
superbowl.gif

Si vous avez pu supporter cette torture jusqu'au bout, merci de me lâcher le score en comm... (A priori, les Patriots étaient bien partis)
TchüSS, les cheums!

Partager cet article
Repost0

commentaires

N
ben pour le peu que j'en ai vu, c vrai que c'était du port'nawak, hé oui, c ça notre cher télé française!! je me suis endormie tellement ça devenait lourd!!
Répondre
R
Oui oui quelques sacks de quarter back tout de même mais bon ça ne sauve pas des cons de la télé française qui, n'y connaissant rien, se sont concentrés à se foutre de la gueule de leurs invités qui eux, c'est vrai, parlaient une langue étrange pleine d'anglicismes peu necessaires(side lines pour lignes de touches, par exemple)...
M
Les New England Patriots ont été à 35 secondes de rester invaincus toute la saison, un exploit dont les ont privé les New York Giants lors du Superbowl (17-14), dimanche à Phoenix... En effet, En écartant les bras pour cueillir le second touchdown des « Pats » à trois minutes de la fin, Randy Moss pensait certainement être le héros : celui qui offrait aux joueurs de Boston une place dans la légende. Après 16 victoires en saison régulière et 2 en phases finales, New England, souvent considéré comme la meilleure équipe de tous les temps, était en route vers une saison idéale, une première depuis Miami en 1972.<br /> Les paris officiels, référence pour désigner les favoris, donnaient les Patriots vainqueurs par 14 points. Dans l'histoire des 41 Superbowl précédents, une seule équipe avait réussi à s'imposer avec un tel « déficit » : les New England Patriots en 2002.<br /> Las, quelques secondes après une première action de folie, le quarterback Eli Manning, élu MVP un an après son frère Peyton, trouvait Plaxico Burress pour le touchdown du titre. Le rêve était passé ! « L'équipe est évidemment extrêmement déçue. Aujourd'hui, il n'était pas question d'invincibilité, mais de gagner un match. Les garçons ont tout donné. Je suis sûr qu'il va nous falloir du temps pour nous remettre », déplorait Tom Brady, le quarterback, qui visait son quatrième titre.<br /> Boston rate le Grand Chelem<br /> Brady, mélange de « play-boy » et de « gendre idéal », a été toute la saison le grand homme de cette équipe, comme il l'avait été lors des trois succès précédents (2002, 2004 et 2005). Fin décembre, lors de la dernière journée de la saison régulière, Brady avait sorti le grand jeu pour préserver l'invincibilité des siens, face aux... Giants, finalement battus (38-35).<br /> Capable de lancer des passes millimétrées pour des cibles à plusieurs dizaines de mètres, Brady a passé un dimanche comme il en a rarement vécu. Dès ses premières séquences offensives, le quarterback s'est retrouvé sous la pression des défenseurs adverses, et souvent les fesses dans le gazon. Il fut notamment renversé à 4 reprises par un Osi Umenyiora des grands jours. C'est d'ailleurs la première fois de la saison que son équipe a marqué aussi peu de points. « Nous savions qu'il fallait être sur lui. Si nous n'avions pas réussi cela, nous n'aurions pas pu gagner », a commenté Michaël Stahan, le leader de la défense new-yorkaise.<br /> « Nous avons eu du succès dans le passé, et nous nous attendions à la même chose ce soir (dimanche). Mais quand vous vous inclinez, il faut féliciter l'adversaire et le respecter. Ils sont champions du monde ! » regrettait son homologue de New England, Tedy Bruschi.<br /> Accessoirement, cette défaite prive aussi Boston d'un éventuel Grand Chelem dans les sports US. Les Boston Red Sox ont remporté à l'automne le titre en base-ball et les Boston Celtics survolent actuellement le Championnat NBA. (Source : AFP). Et soi dit en passant, il est vrai que j'ai laché l'affaire assez rapidement, vu le niveau des commentaires et la façon de nous présenter l'événement... Vive le sport sur France 2 !!!
Répondre
R
Eh bien merci Momo Holtz pour cette analyse plus que complète! Tu passes boire un coup, dtal'heure?
A
17-14 pour les Giants!Bien tendu a la fin , le dernier touchdown libérateur a du se faire a -3'00.<br /> Moi j'ai bien kiffé le plateau de fou avec Laurent :)
Répondre
R
Du coup l'inculture crasse desdits journalistes se trouvait relayée par l'amateurisme au micro de sportifs surprotéïnés. Le match ressemblait à un roti de porc Orloff (je viens de faire mes courses): une espèce de rôti de match entrelardé de tranches de fromage plateau et de pubs bacon... Bon appetit bien sûr. Merci Joël.
Z
C'est les giants qui ont gagné je sais pas de combien
Répondre
R
On s'autorise à penser dans les milieux autorisés que peut être les Giants de NYC auraient gagné ce match sur un score victorieux à la fin du temps imparti... A vous Cognac-Jay, à vous les studios.