J'ai fait des trucs pour : Le Cagibi , Get Freaky , La galerie Oh! , Cell dvsn , Playcat magazine , la Communauté Urbaine de Cherbourg , L'Echo des Savanes , We Run CUC , Laudanum , Viscomica , Cotentin Surf Club , La Petite Boite Edition , Pictoplasma The Missing Link Research Project , Barbeuk Mag , Shuffle ! , Le Totem ...
Jean Michel " SAMO" Basquiat devrait être connu de n'importe quel graffiti artist (et des autres), puisqu'il a commencé en graffant les murs de Brooklin' en posant SAMO pour "SAMe Old shit"...
TchüSS, les cheums!
V'là pour patienter une page de croquis pour un ours qui a aussi servi pour les aut' stickers...Je tâcherai de faire mieux à la prochaine! TchüSS les cheums!
Un nouveau sticker vite fait et mis en situation vite fait aussi...
Eternal Sunshine Of The Spotless Mind...Voilà une petite note pour mon film préfèré. Gondry rules.
TchüSS!
Oui, moi aussi, comme ces petits chinois, j'aime m'amuser à faire de la musique assistée par ordinateur!
(je sais, c'est capilotracté...) TchüSS!
Un gars accroupi, qui checke...
Sinon, je me suis acheté le dernier Christophe Blain cet aprém. Ca s'appelle "GUS", ça a un chouette format pas banal, c'est chez Dargaud et ça raconte les histoires d'un trio de gars du farwest entre attaques de trains et sorties drague au saloon...Ca faisait longtemps que le gars Blain criait qu'il voulait faire du western à sa sauce. Il avait déjà réalisé quelques planches de Bob MUSTANG pour FERAILLE #24, aidé pour les dialogues par Mr TRONDHEIM... Je ne puis résister à l'envie de vous livrer les textes de deux cases choisies au hasard : Première case " Bob ne somnolait que d'un oeil car il n'aimait pas se faire enculer par surprise dans les trains." et planche 3, case 4 : "Effectivement les enculeurs du Kansas arrivaient, reconnaissables de loin par leurs petits cris de kangourous." Etonnant, non? D'autre part, la première histoire du bouquin avait été publiée dans le numéro spécial de PILOTE de Noël 2004. En tout cas, c'est très bien: achetez-le.
Ben d'abord salut à tous les Angoulais! Lors de notre énorme concert avec le groupe Rocky Cat dans cette ville "où le nom des rues sont inscrits sur des plaques en phylactères"( Les bulles, la bédé, le récit sequentiel, tout ça...) Snugg, notre chanteur et front-man, le leur avait souhaité! (ils étaient douze, dans le public...)(Merci à tous les anciens de la maison du peuple et au Julien pour leur hospitalité! Big Up à l'anglophone angoumoisin aux fesses rouges! )
Ceci étant dit, force m'est de constater que l'expo principale de cette édition 2007 du festoch' sous la présidence du chevalier des lettres françaises, Mr Lewis Trondheim, est dédiée à Kid Paddle... (Je le sais: Ils en ont causé à la télé!)
Si vous n'êtes pas encore allé voir le challenge des 24 heures de bédé, ben allez-y: c'est énorme! 24 artistes, 24 heures de boulot pour 24 pages de bédé! Chacun ses préférences... En tout cas c'est ENORME.http://www.24hdelabandedessinee.com/sommaire.php(MA selection: BALADI, BOOSTOPOULET, Aude PICAULT, Erwann SURCOUF, Lewis Trondheim, Fusakun YAMADA. ENJOY!
Harlem est l'endroit du monde où la criminalité est la plus élevée. On y tue six fois plus que dans le reste de New York ou à Chicago. A partir d'avril, dès les beaux jours, on constate une recrudescence de 25% des crimes dont on ne connaitra ni les mobiles ni les auteurs. Harlem comporte huit fois plus de drogués que New York. Aux drogues sophistiquées comme la marijuana ou le L.S.D., les noirs préfèrent la cocaïne et l'héroïne aux effets violents et immédiats. La communauté noire a sa propre organisation d'importation de la drogue et sa propre maffia contre laquelle l'autre maffia elle-même est impuissante. Les policiers dans la ville noire ne circulent jamais isolément et sont toujours reliés par un emetteur radio portatif au commisariat central.(in Paris Match,8 aout 1970,by Jack Garofalo)
1970. "Dans Harlem, on est soudain projeté dans un monde qui ne ressemble à aucun autre. L'énorme proportion des chômeurs fait que la plupart des rues ressemblent à une immense salle d'attente remplie de centaines d'hommes, d'enfants et d'adolescents sans but. Mais dans les autres, la vie prend une intensité surprenante, les jeunes dansent parfois dans la rue, les femmes sont belles, élégantes parfois. La mode est plus audacieuse que partout ailleurs. Les manifestations de l'âme noire sont contradictoires : misère et desespoir ici, et là, musique merveilleuse, goût inné des formes et des couleurs. Mais pour le blanc qui s'aventure dans cette ville, parole ou silence, regard ou sourire, tout est provocation."(in Paris-Match; 8 aout 1970; Jack Garofalo)
