9 décembre 2008
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19:57
En ce deuxième jour, les deux sandwitches de la veille sont loin et les vodkas/red bull biens présentes. Une bonne douche chez Jérome et Melanie et quelques autres vodkas/Red Bull auront vite fait
de remettre les vickings de l'improbable d'aplomb! Nous voilà devant Success. J'en ai déjà parlé
ici, leur live est excellent. Malgré le fait qu'ils soient passés avant 22h et un incident de braguette du chanteur (note to
self: do not buy your concert outfit from Emmaüs), je ne saurais trop vous recommander de réserver votre 13 juin puisqu'il se pourrait bien qu'ils jouent au Siouville Surf Open. S'ensuit un long intermède au bar Kékène où nous retrouvons les Lillois de l'excellent BlogLounge avant un saut au Hall9 pour Miss Platnum. Son titre "Gimme the food" t'entraine sur la piste Missy
Elliot alors que c'est sur celle de Kusturica qu'on t'emmène, section cuivre des balkans en place de basse. La roumaine est accompagnée de deux choristes en tabliers mais habillées en-dessous,
dis-donc! Quelle déception! Un peu de Padded Cell, de Penelopes & Morphéus (Big up Sammy!) et un petit peu de Birdy Nam nam qui ce soir-là ne dépassèrent pas les californiens de The Glitch Mob. On retrouve dailleurs devant la scène mon gars Tony Oheix et Djé de Tchao Paï Paï, ainsi
qu'Alice Dufay et Peter Fulgeance. Le hip hop breakbeat était cette année bien représenté avec
en plus Beat Torrent et Hifana mais ça, je vous en reparle demain. On arrive au Hall9 pour la fin du set de SebastiAn. Il finit sur un titre de la B.O. de Grease: It's my party (and I cry if I want
to)... You would cry too if it happened to you... Le concert suivant, celui de the SHOES, fut à mon avis le meilleur de ces trois jours. Anciens
the Film, le combo de Reims d'abord rock puis duo de remixers electro, s'est recentré sur un projet live en trio. Le live est brillant, le son de Reims est décidément en ce moment un bon millésime!
Les lights sont superbes et l'idée d'utiliser des lampes d'architectes purement geniale.
The shoes ( tof Roofman)
Pour bien faire, je finis devant Djedjotronic. Une tuerie. A cette heure-ci, ses morceaux pendant lesquels partouzent Mr Oizo, Jackson et son
computer band, les frères Dewaele et Riton ont bien failli me faire tourner brelin. Je retombe d'assez haut devant les décevants espagnols d'El Guincho avant d'aller me coucher dans le camion,
encerclé par des fêtards qui vont s'appliquer à remplir le toit de leurs bagnoles de cannettes de bières pendant toute la nuit...
TchüSS, les cheums!

TchüSS, les cheums!