16 novembre 2008
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Soirée exceptionnelle au Cargö ce vendredi 14 puisque la salle caennaise accueillait la programmation anniversaire du Rex club, salle mythique de
l'electro française.
La soirée ne commençant qu'à 23H, on a le temps de se jeter un ptit Mojito en terrasse avant de se diriger vers le Cargö. Le site a changé depuis mercredi: la configuration est celle de la soirée de clôture prévue le lendemain, la surface occupée a doublé. Je fais scanner l'image du code barre de mon ticket sur mon téléphone portable à l'entrée. Trop Hi-tech. A l'entrée, il faut acheter des tickets de boisson pour la soirée. Classique. Moins classique par contre, il faut aussi acheter son goblet plastique sérigraphié au nom du festival. Pour un euro, tu garderas ce goblet toute la soirée et te feras éventuellement rembourser la consigne à la fin. Une très bonne idée qui évite de piétiner du plastoc devant chaque scène. Pour les festoches en plein air, ça évitera aussi pas mal de cleanage de site après coup. A bon entendeur...
C'est R-Frank qui assure l'ambiance du côté club alors que South Central attaque son set sur la grande scène devant un public clairsemé et une salle trop éclairée. C'est dommage, ils ont un bon son mais sont un peu hors sujet par rapport au reste de la prog de ce soir.

On reprend côté club avec mon gars Peter Digital Orchestra, local de l'étape. Son live act avec ses deux MPC est décidément bien rodé et le son dans la salle est énorme. Sur un des morceaux, vers la fin du set, les basses font vibrer les cheveux! Dj Flow, un habitué du festival, mixe house et techno avec classe dans la grande salle. Les montées sont appuyées, en plus des light shows, par des vidéos projetées sur des dizaines de panneaux de 2x2m diposés sur les deux côtés et le plafond de la salle. Retour vers le club où la charmante Chloé remonte en live les morceaux de son album. Résidente du Rex club, fondatrice avec Ivan Smagghe du label Kill the DJ, elle joue une techno minimale et atmosphèrique. Je ne suis que moyennement séduit... Moyennement séduit également par Dubfire, côté grande scène, qui joue une techno-gigolo-rentre-dedans-montée-acid en bon résidant du DC10 d'Ibiza. Attention c'est efficace: tout le monde les bras en l'air. Sur les deux scènes, on a eu au même moment deux des extrèmes de la techno introverti/extraverti.

J'aime Jennifer Cardini. Son tatouage Lust sur l'avant bras gauche, sa façon de lacher les platines pour aller choper un verre backstage, de sourire au public d'un air entendu avant de balancer une grosse montée. Elle aussi résidente du Rex club, elle joue une techno "puissant et sexy" comme dit le programme. Le temps pour nous de fumer une bière et boire un bédo en mangeant une petite frite le long du canal et il est l'heure d'aller voir le parrain de la techno, les origines, Underground Resistance, Detroit, c'est lui: Jeff Mills. Super concentré sur ses platines, il ne lachera pas un regard au public mais par contre quel set! Le smile sur tous les visages, la salle est bondée et tout le monde prend sa claque et son pied!
En prime, dix minutes de mix à trois platines en direct par le "god of techno". Tu comprends pourquoi il garde la tête dans le guidon quand tu vois comment ses mains virevoltent de la mixette aux platines! 8)
Avant d'y aller, un petit passage devant Gormak, lui aussi habitué du festival et ancien caennais, et son projet Sprog. Très bon mix techno electro mais il se fait tard (4H45) et les pieds me cuisent.

En short, une très bonne soirée techno club où pour une fois tu te prends pas un gros coup de vieux sur le dancefloor. Super ambiance, sourire et bras en l'air. Je me suis plusieurs fois souvenu du clip de Soulwax en me demandant à quoi pouvaient carburer certains de mes camarades. Moi c'est 2x2EE: bEEr & wEEd. Par contre je suis assez déçu de la qualité des fotos prises par mon téléphone. 5mégapixels mon cul, oui!
TchüSS, les cheums!
La soirée ne commençant qu'à 23H, on a le temps de se jeter un ptit Mojito en terrasse avant de se diriger vers le Cargö. Le site a changé depuis mercredi: la configuration est celle de la soirée de clôture prévue le lendemain, la surface occupée a doublé. Je fais scanner l'image du code barre de mon ticket sur mon téléphone portable à l'entrée. Trop Hi-tech. A l'entrée, il faut acheter des tickets de boisson pour la soirée. Classique. Moins classique par contre, il faut aussi acheter son goblet plastique sérigraphié au nom du festival. Pour un euro, tu garderas ce goblet toute la soirée et te feras éventuellement rembourser la consigne à la fin. Une très bonne idée qui évite de piétiner du plastoc devant chaque scène. Pour les festoches en plein air, ça évitera aussi pas mal de cleanage de site après coup. A bon entendeur...
C'est R-Frank qui assure l'ambiance du côté club alors que South Central attaque son set sur la grande scène devant un public clairsemé et une salle trop éclairée. C'est dommage, ils ont un bon son mais sont un peu hors sujet par rapport au reste de la prog de ce soir.

On reprend côté club avec mon gars Peter Digital Orchestra, local de l'étape. Son live act avec ses deux MPC est décidément bien rodé et le son dans la salle est énorme. Sur un des morceaux, vers la fin du set, les basses font vibrer les cheveux! Dj Flow, un habitué du festival, mixe house et techno avec classe dans la grande salle. Les montées sont appuyées, en plus des light shows, par des vidéos projetées sur des dizaines de panneaux de 2x2m diposés sur les deux côtés et le plafond de la salle. Retour vers le club où la charmante Chloé remonte en live les morceaux de son album. Résidente du Rex club, fondatrice avec Ivan Smagghe du label Kill the DJ, elle joue une techno minimale et atmosphèrique. Je ne suis que moyennement séduit... Moyennement séduit également par Dubfire, côté grande scène, qui joue une techno-gigolo-rentre-dedans-montée-acid en bon résidant du DC10 d'Ibiza. Attention c'est efficace: tout le monde les bras en l'air. Sur les deux scènes, on a eu au même moment deux des extrèmes de la techno introverti/extraverti.

J'aime Jennifer Cardini. Son tatouage Lust sur l'avant bras gauche, sa façon de lacher les platines pour aller choper un verre backstage, de sourire au public d'un air entendu avant de balancer une grosse montée. Elle aussi résidente du Rex club, elle joue une techno "puissant et sexy" comme dit le programme. Le temps pour nous de fumer une bière et boire un bédo en mangeant une petite frite le long du canal et il est l'heure d'aller voir le parrain de la techno, les origines, Underground Resistance, Detroit, c'est lui: Jeff Mills. Super concentré sur ses platines, il ne lachera pas un regard au public mais par contre quel set! Le smile sur tous les visages, la salle est bondée et tout le monde prend sa claque et son pied!
En prime, dix minutes de mix à trois platines en direct par le "god of techno". Tu comprends pourquoi il garde la tête dans le guidon quand tu vois comment ses mains virevoltent de la mixette aux platines! 8)
Avant d'y aller, un petit passage devant Gormak, lui aussi habitué du festival et ancien caennais, et son projet Sprog. Très bon mix techno electro mais il se fait tard (4H45) et les pieds me cuisent.

En short, une très bonne soirée techno club où pour une fois tu te prends pas un gros coup de vieux sur le dancefloor. Super ambiance, sourire et bras en l'air. Je me suis plusieurs fois souvenu du clip de Soulwax en me demandant à quoi pouvaient carburer certains de mes camarades. Moi c'est 2x2EE: bEEr & wEEd. Par contre je suis assez déçu de la qualité des fotos prises par mon téléphone. 5mégapixels mon cul, oui!
TchüSS, les cheums!